Congrégations religieuses féminines de la Manche
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Une congrégation religieuse féminine est une association de femmes catholiques unies par le désir de vivre en communauté leur engagement dans la vie religieuse, formalisé par les trois vœux simples de pauvreté, chasteté et obéissance.
Ce sont des institutions approuvées par l'évêque ou par le pape, qui se sont créées au fil du temps en fonction des besoins ou des crises qui agitaient l'Église, et sont l'illustration de l'évolution de celle-ci.
La vie de chaque communauté est organisée par une « règle », c'est-à-dire l'ensemble des statuts imposés par le fondateur de son ordre religieux.
Ces congrégations, disparues ou toujours en activité, sont nombreuses dans la Manche :
Avranches
- Bénédictines dans l'ancienne abbaye de Moutons
- Carmélites (monastère du Val-Saint-Père, Saint-Martin-des-Champs)
- Dames de Saint-Maur ou Dames noires (Sœurs de la Providence ?)
- Ursulines dans l'ancien couvent des capucins
Barenton
Carentan
Cherbourg
- Couvent des Petites sœurs des pauvres
- Sœurs de la Charité de Jésus et Marie (dites de la Bucaille) dans le couvent de la Bucaille
Coutances
- Augustines hospitalières
- Bénédictines
- Carmélites
- Sacré Cœur
- Sœurs de la Miséricorde[1]
Ducey
Granville
- Sœurs dites de Saint-Maur
Mortain
- Ursulines
Périers
Querqueville
- Franciscaines du Sacré-Cœur
Saint-James
- Trinitaires dans le prieuré Saint-Jacques
Saint-Pair-sur-Mer
Saint-Pierre-Église
Torigni-sur-Vire
- Bénédictines
- Carmélites
- Visitandines
Valognes
- Augustines de Notre-Dame
- Bénédictines de Notre-Dame dans l'abbaye Notre-Dame-de-Protection
- Franciscaines réparatrices de Jésus-Hostie
- Ursulines
Vindefontaine
- Augustines de Notre-Dame
Manche
(présentes successivement dans plusieurs communes)
Notes et références
- ↑ Céline Guitton, « La chapelle de la Miséricorde, toujours consacrée », Ouest-France, site internet, 12 juin 2013. (lire en ligne)