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Roger Bruhl fait partie d'un convoi de 170 hommes et 4 femmes qui part de Belfort (Territoire de Belfort) le [[17 août]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Buchenwald.
Roger Bruhl fait partie d'un convoi de 170 hommes et 4 femmes qui part de Belfort (Territoire de Belfort) le [[17 août]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Buchenwald.


À son arrivée au camp, il se voit attribué le numéro matricule 85210.
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 85210.


Il intègre le kommando Halberstadt ou Markrele. Ce kommando, implanté au sud-ouest de Magdeburg, travaille à la construction d'ailes d'avions. A l'arrêt de la fabrication en début d'année 1945, une partie des prisonniers est transférée à Langenstein-Zweiberge. Roger Bruhl reste à Halberstadt où il participe à des travaux de terrassement et de déblaiement.
Il intègre le kommando Halberstadt ou Markrele. Ce kommando, implanté au sud-ouest de Magdeburg, travaille à la construction d'ailes d'avions. A l'arrêt de la fabrication en début d'année 1945, une partie des prisonniers est transférée à Langenstein-Zweiberge. Roger Bruhl reste à Halberstadt où il participe à des travaux de terrassement et de déblaiement.

Version du 9 août 2020 à 19:05

Roger Joseph Bruhl, né à Cherbourg le 3 octobre 1919 [1] et mort à Halberstadt (Allemagne) le 9 mai 1945, est un déporté de la Manche.

Roger Bruhl fait partie d'un convoi de 170 hommes et 4 femmes qui part de Belfort (Territoire de Belfort) le 17 août 1944 à destination du camp de concentration de Buchenwald.

À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 85210.

Il intègre le kommando Halberstadt ou Markrele. Ce kommando, implanté au sud-ouest de Magdeburg, travaille à la construction d'ailes d'avions. A l'arrêt de la fabrication en début d'année 1945, une partie des prisonniers est transférée à Langenstein-Zweiberge. Roger Bruhl reste à Halberstadt où il participe à des travaux de terrassement et de déblaiement.

À la libération du camp, le 8 mai 1945, Roger Bruhl est hospitalisé à l'hôpital de la ville où il décède le lendemain.

Notes et références

Source

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