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Robert de Bréville part en déportation avec le convoi de 2 152 hommes qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[2 juillet]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Dachau. À bord des wagons se trouvent également les Manchois : [[René Hamel|Hamel]], [[Émile Lefebvre|Lefebvre]], [[Fernand  Lelandais|Lelandais]], [[Édouard Planque|Planque]] et [[Georges Ronceray|Ronceray]].
Robert de Bréville part en déportation avec le convoi de 2 152 hommes qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le [[2 juillet]] [[1944]] à destination du camp de concentration de Dachau. À bord des wagons se trouvent également les Manchois : [[René Hamel|Hamel]], [[Émile Lefebvre|Lefebvre]], [[Fernand  Lelandais|Lelandais]], [[Édouard Planque|Planque]] et [[Georges Ronceray|Ronceray]].


À son arrivée au camp, il se voit attribué le numéro matricule 77587. À Dachau, Robert de Bréville intègre le kommando Neckargerach qui travaille dans les mines.
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 77587. À Dachau, Robert de Bréville intègre le kommando Neckargerach qui travaille dans les mines.


Il est libre en avril 1945 d'un lieu ignoré.
Il est libre en avril 1945 d'un lieu ignoré.

Version du 9 août 2020 à 19:03

Robert de Bréville, né à Coutances le 16 décembre 1899, est un déporté de la Manche.

Robert de Bréville part en déportation avec le convoi de 2 152 hommes qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 2 juillet 1944 à destination du camp de concentration de Dachau. À bord des wagons se trouvent également les Manchois : Hamel, Lefebvre, Lelandais, Planque et Ronceray.

À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 77587. À Dachau, Robert de Bréville intègre le kommando Neckargerach qui travaille dans les mines.

Il est libre en avril 1945 d'un lieu ignoré.

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