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==Biographie== | |||
Son père Jean Marin Cornille, marchand de bois, a été conseiller municipal pendant de nombreuses années et sa mère (morte en [[1922]]<ref>''L'Ouest-Éclair'', 5 mai 1922.</ref>), ménagère . | Son père Jean Marin Cornille, marchand de bois, a été conseiller municipal pendant de nombreuses années et sa mère (morte en [[1922]]<ref>''L'Ouest-Éclair'', 5 mai 1922.</ref>), ménagère . | ||
Après des études | Après des études à l'école des Beaux-Arts de Paris entre [[1892]] et [[1897]]<ref name =agorha>''Agorha'', base de données de l'INHA [https://agorha.inha.fr/inhaprod/ark:/54721/00282172 ''(lire en ligne)'']</ref>, il retrouve sa région natale. | ||
En [[1899]], il établit avec Jules Cheftel les plans de la restauration de la nef de l'[[Église Saint-Martin (Brécey)|église de Brécey]]<ref > AD50, Cote 1Fi 5/813 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011441808206EL0SXX ''(lire en ligne)'']</ref>. | En [[1899]], il établit avec Jules Cheftel les plans de la restauration de la nef de l'[[Église Saint-Martin (Brécey)|église de Brécey]]<ref > AD50, Cote 1Fi 5/813 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011441808206EL0SXX ''(lire en ligne)'']</ref>. | ||
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En [[1919]], il est nommé architecte des arrondissements d'Avranches et Mortain<ref name =agorha/>. | En [[1919]], il est nommé architecte des arrondissements d'Avranches et Mortain<ref name =agorha/>. | ||
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Louis Jean Cornille, né à Buais le 28 mai 1872 [1] et mort à Avranches le 14 août 1945[1] est un architecte de la Manche.
Biographie
Son père Jean Marin Cornille, marchand de bois, a été conseiller municipal pendant de nombreuses années et sa mère (morte en 1922[2]), ménagère .
Après des études à l'école des Beaux-Arts de Paris entre 1892 et 1897[3], il retrouve sa région natale.
En 1899, il établit avec Jules Cheftel les plans de la restauration de la nef de l'église de Brécey[4].
En 1919, il est nommé architecte des arrondissements d'Avranches et Mortain[3].
Il réalise la maison d'habitation du docteur Fauchon à Saint-Hilaire-du-Harcouët, le monument du Souvenir français à Avranches, l'immeuble situé place de la Poste et abritant la Caisse d'épargne et l'Hôtel des postes d'Avranches, l'hôtel de ville de La Haye-Pesnel, la construction de la chapelle de l'institution Saint-Joseph de Villedieu-les-Poêles, la restauration du château de Villeneuve-Chailland (Mayenne) et du château de Montviron[3].
En 1933, la municipalité de Saint-Hilaire-du-Harcouët retient un de ses trois projets pour la construction des abattoirs[5].
Il est agréé MRU (Ministère de la Reconstruction et de l'Urbanisme)[6].
Il procède au relevé de l'église de Saint-Loup[3].
Il est le frère de Léon Cornille (1869-1934), ancien élève de l'École polytechnique et directeur de fonderie de cloches de Villedieu, mort le 1er janvier 1934[7].
Il est le père de Louis Cornille (1904) né en 1904, architecte lui aussi.
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 AD50, NMD Buais, 1863 – 1872 (5 Mi 399), page 250/359 Acte de naissance n° 37 (lire en ligne).
- ↑ L'Ouest-Éclair, 5 mai 1922.
- ↑ 3,0 3,1 3,2 et 3,3 Agorha, base de données de l'INHA (lire en ligne)
- ↑ AD50, Cote 1Fi 5/813 (lire en ligne)
- ↑ L'Ouest-Éclair, 26 août 1936.
- ↑ Agrément des architectes de la Reconstruction (lire en ligne)
- ↑ L'Ouest-Éclair, 4 janvier 1934.