Actions

« Louis-Barthélémy Fréret » : différence entre les versions

De Wikimanche

(compléments)
m (lien)
Ligne 5 : Ligne 5 :
Il vivait dans le quartier du Cauchin à Cherbourg, « dans un pavillon caché sous les arbres, au milieu des fleurs, qu'il cultivait avec passion et qui lui servaient de modèles » <ref name=Hubert/>. Le jardin de sa maison donnait « une idée, en petit, de celui de Versailles par la façon pittoresque dont il était tracé »<ref name= Hubert/>.
Il vivait dans le quartier du Cauchin à Cherbourg, « dans un pavillon caché sous les arbres, au milieu des fleurs, qu'il cultivait avec passion et qui lui servaient de modèles » <ref name=Hubert/>. Le jardin de sa maison donnait « une idée, en petit, de celui de Versailles par la façon pittoresque dont il était tracé »<ref name= Hubert/>.


Il est le fils du sculpteur et peintre [[Pierre Fréret]] ([[1714]]-[[1782]]) et frère du sculpteur [[François-Armand Fréret]] ([[1758]]-[[1816]]).
Il est le fils du sculpteur et peintre [[Pierre Fréret (1714)|Pierre Fréret]] ([[1714]]-[[1782]]) et frère du sculpteur [[François-Armand Fréret]] ([[1758]]-[[1816]]).


==Notes==
==Notes==

Version du 4 janvier 2010 à 17:29

Louis-Barthélémy Fréret, né en 1755, mort en 1831, est un peintre de la Manche.

En 1785, la reine Marie-Antoinette le nomme son « peintre des fleurs » [1]. Dès lors, il signe ses tableaux « Fréret, peintre de la Reine » [1]. Elle le charge de dessiner les plans des jardins du Petit-Trianon à Versailles [1]. L’un de ses tableaux « Le Bouquet de fleurs » est exposé au Musée Thomas-Henry à Cherbourg.

Il vivait dans le quartier du Cauchin à Cherbourg, « dans un pavillon caché sous les arbres, au milieu des fleurs, qu'il cultivait avec passion et qui lui servaient de modèles » [1]. Le jardin de sa maison donnait « une idée, en petit, de celui de Versailles par la façon pittoresque dont il était tracé »[1].

Il est le fils du sculpteur et peintre Pierre Fréret (1714-1782) et frère du sculpteur François-Armand Fréret (1758-1816).

Notes

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 P. Hubert, « L'évolution artistique à Cherbourg au XIXe siècle », in Cherbourg et le Cotentin, impr. Le Maout, 1905