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== Biographie ==
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Né au village de l'Église à La Glacerie, il perd tôt son père, militaire de 26 ans mort au Maroc, puis sa mère, sous le bombardement du [[20 avril]] [[1944]] <ref name=LG>Philippe Durand, ''La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale'', Ville de La Glacerie, Paris, 2001.</ref>.
Né au village de l'Église à La Glacerie, il perd tôt son père, militaire de 26 ans mort au Maroc, puis sa mère, sous le bombardement du [[20 avril]] [[1944]] <ref name=LG>Philippe Duval, ''La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale'', Ville de La Glacerie, Paris, 2001.</ref>.


Employé des chemins de fer, habitant rue Larsonneur, il entre au conseil municipal de La Glacerie en [[1951]] <ref name=LG/>.
Employé des chemins de fer, habitant rue Larsonneur, il entre au conseil municipal de La Glacerie en [[1951]] <ref name=LG/>.

Version du 17 novembre 2019 à 23:56

Léopold Bellamy.

Léopold Bellamy, né à La Glacerie le 28 novembre 1922 et mort dans la même commune le 3 avril 1982[[Catégorie:Décès à Erreur d’expression : mot « avril » non reconnu. ans]], est une personnalité politique de la Manche.

Il est maire de La Glacerie de 1953 à 1977.

Biographie

Né au village de l'Église à La Glacerie, il perd tôt son père, militaire de 26 ans mort au Maroc, puis sa mère, sous le bombardement du 20 avril 1944 [1].

Employé des chemins de fer, habitant rue Larsonneur, il entre au conseil municipal de La Glacerie en 1951 [1].

Deux ans plus tard, le 11 mai 1953, il est élu maire aux côtés de ses adjoints Ernest Roquier et Eugène Dorléans [1].

Réélu le 18 mars 1959 après la victoire de la liste d'« Union pour la dépense des intérêts communaux », qui emporte plus de 76 % des suffrages, il a René Goderel et Léon Roulland comme premier et deuxième adjoints, et Joseph Hannot comme adjoint spécial. Il est reconduit le 25 mars 1965, avec comme adjoints Roger Galopet, Émile Le Clézio, Charles Hannot et Auguste Lepoittevin, et de nouveau le 23 mars 1972, avec Didier Pillet (1eradjoint), Émile Le Clézio (2e adjoint), Guy Letouzé (3e adjoint) et Michel Le Brun (4e adjoint) [1].

Sous son mandat, La Glacerie quitte son statut de commune rurale avec le déploiement d'un second centre au-dessus des Rouges-Terres et à travers la construction des tours de Bellevue, de la Cité Montmartre, et du collège Émile-Zola...

De 1971 à 1977, il est vice-président de la Communauté urbaine de Cherbourg, chargé des question de sécurité [1].

Notes et références

  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Philippe Duval, La Glacerie 1901-2001 : son premier siècle de vie locale, Ville de La Glacerie, Paris, 2001.