« Jacques Mauger » : différence entre les versions
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'''Jacques Mauger''', {{date naissance|18|10|1787|Ger}} et {{date décès|30|7|1833|Coutances}}, est une personnalité catholique de la [[Manche]]. | '''Jacques Mauger''', {{date naissance|18|10|1787|Ger}} <ref name=EC1> - Acte de décès n° 134 [http://www.archives-manche.fr/ark:/57115/a011288085768BKqlNJ/7ba3ac5198 ''(lire en ligne)''].</ref> et {{date décès|30|7|1833|Coutances}} <ref name=EC1></ref>, est une personnalité catholique de la [[Manche]]. | ||
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Version du 14 décembre 2019 à 21:56
Jacques Mauger, né à Ger le 18 octobre 1787 [1] et mort à Coutances le 30 juillet 1833 [1], est une personnalité catholique de la Manche.
Biographie
Ses parents, boulangers, l'envoient étudier au collège de Mortain, puis au collège d'Avranches[2]. Il y reçoit l'enseignement de l'abbé Julien Lesplu-Dupré qu'il suit en 1809 au séminaire de Coutances[2].
Par la suite, il y enseigne lui même la philosophie avant d'en devenir directeur et professeur d'écriture sainte[2].
En 1821, l'évêque de Coutances le nomme supérieur du grand séminaire en remplacement de l'abbé Lesplu-Dupré, devenu vicaire général[2].
Sa modestie l'incite à décliner la proposition qui lui est faite d'être coadjuteur du cardinal prince de Croy, archevêque de Rouen[2].
Vers 1820, il crée, près de Ger, la cure de Rancoudray qui, en 1861 devient commune indépendante de Saint-Clément-Rancoudray pendant plus de cent ans[2].
Pendant plusieurs années, il est le coadjuteur de fait de Mgr. Pierre Dupont de Poursat, tombé en enfance[2].
Pris d'une maladie brutale au début de juillet 1833, il y succombe quelques jours plus tard[2].
Il est inhumé au cimetière de Saint-Nicolas-de-Coutances[2].
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 - Acte de décès n° 134 (lire en ligne).
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 2,7 et 2,8 Hippolyte Sauvage, L'abbé Mauger, supérieur du grand séminaire de Coutances, impr. A. Leroy, Mortain, 1895, 8 pages (lire en ligne)