« Gustave Lair » : différence entre les versions
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À son arrivée au camp, il se voit | À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 74363. À Dachau, Edmond Jourdan intégrera le kommando Allach, situé près de Dachau, qui fait travailler les détenus à différents projets et productions : d'abord pour une manufacture de porcelaine, ensuite pour la firme BMW et enfin pour différents chantiers de l'organisation Todt. | ||
Edmond Jourdan recouvre la liberté mais décède après son retour. | Edmond Jourdan recouvre la liberté mais décède après son retour. | ||
Version du 9 août 2020 à 19:04
Gustave Victor Lair, né au Mesnil-Gilbert le 30 mars 1894 [1] et mort à Vire (Calvados) le 28 août 1945 [1], à son retour du camp de concentration de Dachau (Allemagne), est un déporté de la Manche.
Gustave Lair part en déportation avec le convoi de 2 143 hommes qui quitte Compiègne-Royallieu (Oise) le 18 juin 1944 à destination du camp de concentration de Dachau. À bord des wagons se trouvent également les Manchois : Bertrand, Blaisot, Delafosse, Jourdan, Lemoine, Magot, Michel, Picaud et Thomas.
À son arrivée au camp, il se voit attribuer le numéro matricule 74363. À Dachau, Edmond Jourdan intégrera le kommando Allach, situé près de Dachau, qui fait travailler les détenus à différents projets et productions : d'abord pour une manufacture de porcelaine, ensuite pour la firme BMW et enfin pour différents chantiers de l'organisation Todt.
Edmond Jourdan recouvre la liberté mais décède après son retour.
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 « Fiche de Gustave Victor LAIR », Mémoire des hommes, site internet, Service historique de la Défense, Caen, cote AC 21 P 66976.