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'''François-Noël Dallet''', né à Metz (Moselle) {{date naissance|14| | '''François-Noël Dallet''', né à Metz (Moselle) {{date naissance|14|9|1715}} et {{date décès|9|6|1775|Valognes}}, est un écrivain de la [[Manche]]. | ||
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D'un père cherbourgeois, il est confié à un oncle paternel, supérieur du [[séminaire de Valognes]], qui assure son éducation <ref name=ADM1>Vérusmor, « Nécrologie », ''[[Annuaire du département de la Manche]]'', impr. Élie fils, 1839, p. 394-395. </ref>. Élève brillant, il sait le latin à 12 ans <ref name=ADM1/>. Amoureux des belles-lettres, il s'intéresse passionnément à la poésie et commence à taquiner la rime <ref name=ADM1/>. Son œuvre ne manque « ni de charme ni de mérite », assure [[Vérusmor]] <ref name= ADM1/>. Il est notamment l'auteur d'un poème sur ''La prise de Cherbourg par les Anglais'', en [[1758]] <ref>[[Voisin La Hougue]], ''Histoire de la ville de Cherbourg'' (continuée de 1728 jusqu'à 1835 par Vérusmor), impr. Boulanger, 1835, p. 132. </ref>. | D'un père cherbourgeois, il est confié à un oncle paternel, supérieur du [[séminaire de Valognes]], qui assure son éducation <ref name=ADM1>Vérusmor, « Nécrologie », ''[[Annuaire du département de la Manche]]'', impr. Élie fils, 1839, p. 394-395. </ref>. Élève brillant, il sait le latin à 12 ans <ref name=ADM1/>. Amoureux des belles-lettres, il s'intéresse passionnément à la poésie et commence à taquiner la rime <ref name=ADM1/>. Son œuvre ne manque « ni de charme ni de mérite », assure [[Vérusmor]] <ref name= ADM1/>. Il est notamment l'auteur d'un poème sur ''La prise de Cherbourg par les Anglais'', en [[1758]] <ref>[[Voisin La Hougue]], ''Histoire de la ville de Cherbourg'' (continuée de 1728 jusqu'à 1835 par Vérusmor), impr. Boulanger, 1835, p. 132. </ref>. | ||
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Version du 26 septembre 2020 à 12:00
François-Noël Dallet, né à Metz (Moselle) le 14 septembre 1715 et mort à Valognes le 9 juin 1775, est un écrivain de la Manche.
Biographie
D'un père cherbourgeois, il est confié à un oncle paternel, supérieur du séminaire de Valognes, qui assure son éducation [1]. Élève brillant, il sait le latin à 12 ans [1]. Amoureux des belles-lettres, il s'intéresse passionnément à la poésie et commence à taquiner la rime [1]. Son œuvre ne manque « ni de charme ni de mérite », assure Vérusmor [1]. Il est notamment l'auteur d'un poème sur La prise de Cherbourg par les Anglais, en 1758 [2].
Il est d'abord membre de l'Académie des belles-lettres de Rouen, puis admis en 1774 à la Société nationale académique de Cherbourg [1].
Il constitue un cabinet de raretés, « qu'on citait pour un des plus beaux de Normandie » [1].
Il dirige un pensionnat à Valognes lorsqu'il meurt à 59 ans [1].
Notes et références
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 et 1,6 Vérusmor, « Nécrologie », Annuaire du département de la Manche, impr. Élie fils, 1839, p. 394-395.
- ↑ Voisin La Hougue, Histoire de la ville de Cherbourg (continuée de 1728 jusqu'à 1835 par Vérusmor), impr. Boulanger, 1835, p. 132.