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Originaire de Font-Romeu, elle vit à Grenoble (Isère), Strasbourg (Bas-Rhin) et Nantes (Loire-Atlantique), avant de se fixer à Granville en [[1999]] avec son mari né à [[Cherbourg]] <ref name=OF1>Xavier Oriot, « Dominique Baudry, première femme maire de Granville», ''Ouest-France'', 1{{er}} avril 2014. </ref>. | Originaire de Font-Romeu, elle vit à Grenoble (Isère), Strasbourg (Bas-Rhin) et Nantes (Loire-Atlantique), avant de se fixer à Granville en [[1999]] avec son mari né à [[Cherbourg]] <ref name=OF1>Xavier Oriot, « Dominique Baudry, première femme maire de Granville», ''Ouest-France'', 1{{er}} avril 2014. </ref>. | ||
Elle est élue conseillère municipale en [[Élections municipales de 2001 dans la Manche|2001]] sur la liste du maire divers droite [[Marc Verdier]], qui lui confie la communication événementielle et l'envoie à la communauté de | Elle est élue conseillère municipale en [[Élections municipales de 2001 dans la Manche|2001]] sur la liste du maire divers droite [[Marc Verdier]], qui lui confie la communication événementielle et l'envoie à la [[communauté de communes du Pays granvillais]] dont elle préside la commission communication de 2001 à 2008. Elle organise plusieurs grands événements sportifs et culturels (centenaire des associations loi 1901, Tour de France à la Voile, trophée des associations, Terre et Voix, concerts du théâtre marin...) et installe le service communication intercommunal. | ||
Elle est deuxième sur la liste d'opposition à [[Daniel Caruhel]] menée par Jean-Yves Mercier aux [[Élections municipales de 2008 dans la Manche|municipales de 2008]] <ref name=fbc>Jacqueline Fardel, « Qui est Dominique Baudry, première femme maire de Granville ? » ''France Bleu Cotentin'', 31 mars 2014 [http://www.francebleu.fr/municipales-2014/granville-une-femme-va-pour-la-premiere-fois-conduire-la-destinee-de-la-ville-1410153 ''(lire en ligne)''].</ref>. | Elle est deuxième sur la liste d'opposition à [[Daniel Caruhel]] menée par Jean-Yves Mercier aux [[Élections municipales de 2008 dans la Manche|municipales de 2008]] <ref name=fbc>Jacqueline Fardel, « Qui est Dominique Baudry, première femme maire de Granville ? » ''France Bleu Cotentin'', 31 mars 2014 [http://www.francebleu.fr/municipales-2014/granville-une-femme-va-pour-la-premiere-fois-conduire-la-destinee-de-la-ville-1410153 ''(lire en ligne)''].</ref>. | ||
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Elle est également engagée dans les mouvements de parents d’élèves, au Rotary Club de Granville, et siège au conseil d'administration d’un établissement bancaire mutualiste. | Elle est également engagée dans les mouvements de parents d’élèves, au Rotary Club de Granville, et siège au conseil d'administration d’un établissement bancaire mutualiste. | ||
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Dominique Baudry, née à Font-Romeu (Pyrénées-Orientales) le 13 décembre 1960, est une personnalité politique de la Manche.
Elle est maire de Granville d'avril 2014 à juin 2020.
Biographie
Elle est gérante d'une entreprise de communication événementielle.
Originaire de Font-Romeu, elle vit à Grenoble (Isère), Strasbourg (Bas-Rhin) et Nantes (Loire-Atlantique), avant de se fixer à Granville en 1999 avec son mari né à Cherbourg [1].
Elle est élue conseillère municipale en 2001 sur la liste du maire divers droite Marc Verdier, qui lui confie la communication événementielle et l'envoie à la communauté de communes du Pays granvillais dont elle préside la commission communication de 2001 à 2008. Elle organise plusieurs grands événements sportifs et culturels (centenaire des associations loi 1901, Tour de France à la Voile, trophée des associations, Terre et Voix, concerts du théâtre marin...) et installe le service communication intercommunal.
Elle est deuxième sur la liste d'opposition à Daniel Caruhel menée par Jean-Yves Mercier aux municipales de 2008 [2].
Elle emporte le second tour des municipales 2014 dans une quadrangulaire avec 43,42 % des voix, devenant la première femme maire de Granville [2]. À l'automne 2016, elle affronte une crise au sein de sa majorité avec la démission de quatre de ses adjoints,dont Gilles Ménard, et de deux conseillers municipaux, qui lui reprochent « des problèmes de méthode » [3].
Elle est également engagée dans les mouvements de parents d’élèves, au Rotary Club de Granville, et siège au conseil d'administration d’un établissement bancaire mutualiste.
Ancienne adhérente de l'UMP, elle ne veut plus appartenir à aucun parti [1].
Le site internet granvillais Granville à poil la brocarde régulièrement [4].
Au premier tour des élections municipales de 2020, sa liste Granville un cap arrive en tête avec 32,81% des voix devant son ancien adjoint Gilles Ménard (30,09%), Fany Garcion (25,42%) et Denis Féret (11,68%) [5]. Au second tour, Gilles Ménard, ayant fusionné avec la liste de Fany Garcion, emporte la triangulaire face à Dominique Baudry et Denis Féret [6]. Elle reste conseillère municipale au sein d'un groupe qu'elle préfère qualifier de minoritaire plutôt que d'opposition [7].
Le 20 février 2024, Dominique Baudry démissionne du conseil municipal de Granville et de la communauté de communes Granville, terre et mer [8]. Elle annonce retrouver ses racines à Font-Romeu [9].
Distinction
Notes et références
- ↑ 1,0 et 1,1 Xavier Oriot, « Dominique Baudry, première femme maire de Granville», Ouest-France, 1er avril 2014.
- ↑ 2,0 et 2,1 Jacqueline Fardel, « Qui est Dominique Baudry, première femme maire de Granville ? » France Bleu Cotentin, 31 mars 2014 (lire en ligne).
- ↑ « Tremblement de terre à Granville », La Manche Libre, site internet, 10 novembre 2016.
- ↑ Granville à poil, site internet consulté le 23 juillet 2019.
- ↑ Fabien Jouatel, « Municipales à Granville. Dominique Baudry en tête », Ouest-France, site internet, 15 mars 2020.
- ↑ « Municipales 2020 : le gros coup de Gilles Ménard à Granville », La Presse de la Manche, site internet, 29 juin 2020.
- ↑ Marie Carof-Gardel, « Dominique Baudry en ordre de marche », Ouest-France, 23 septembre 2020.
- ↑ « Dominique Baudry présente sa démission du conseil municipal », La Manche Libre, site internet, 22 février 2024.
- ↑ Marie Carof-Gardel, « Dominique Baudry "ne retient que le meilleur " », Ouest-France, 22 février 2024.