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La '''baie d'Écalgrain''' est un site remarquable de la [[Manche]], situé dans la [[Hague]].
La '''baie d'Écalgrain''' est un site remarquable de la [[Manche]], situé dans la [[Hague]].


Elle offre une plage de galets et de sable bien abritée, surplombée par des falaises, d'un accès difficile <ref>C'est « la plage du bout du monde », selon Claude Pithois, ''La Hague, terre ignorée...'', Librairie G. Gautier, 1961, p. 42. </ref>.
Elle offre une plage de galets et de sable bien abritée, surplombée par des falaises, d'un accès difficile <ref>C'est « la plage du bout du monde », selon [[Claude Pithois]], ''La Hague, terre ignorée...'', Librairie G. Gautier, 1961, p. 42. </ref>.


Elle tire son nom d'un moulin qui la surplombait, encore en service jusqu'au début du XX{{e}} siècle « et dont le dernier meunier fut Louis Grout » <ref>Pierre Anquetil, ''La Hague fouille dans son passé'', éd. La Dépêche, Cherbourg, 1974, p. 9. </ref>.
Elle tire son nom d'un moulin qui la surplombait, encore en service jusqu'au début du XX{{e}} siècle « et dont le dernier meunier fut Louis Grout » <ref>Pierre Anquetil, ''La Hague fouille dans son passé'', éd. La Dépêche, Cherbourg, 1974, p. 9. </ref>.

Version du 29 octobre 2015 à 17:25

La baie d'Écalgrain vue depuis la Côte soufflée

La baie d'Écalgrain est un site remarquable de la Manche, situé dans la Hague.

Elle offre une plage de galets et de sable bien abritée, surplombée par des falaises, d'un accès difficile [1].

Elle tire son nom d'un moulin qui la surplombait, encore en service jusqu'au début du XXe siècle « et dont le dernier meunier fut Louis Grout » [2].

Géographie

La baie d'Écalgrain se situe au nord-ouest de la presqu'île de la Hague, entre le nez de Jobourg et le port de Goury. Elle est située pour moitié sur Jobourg et sur Auderville, le ruisseau du Moulin marquant la limite.

Sur sa gauche, quand on regarde la mer, ne pas manquer l'anse du Culeron.

L'éperon barré est « probablement préhistorique » [3]. « Il est réuni à la terre par un étroit pédoncule barré d'un ruisseau » [3]. Il a été depuis aménagé en fortin.

Notes et références

  1. C'est « la plage du bout du monde », selon Claude Pithois, La Hague, terre ignorée..., Librairie G. Gautier, 1961, p. 42.
  2. Pierre Anquetil, La Hague fouille dans son passé, éd. La Dépêche, Cherbourg, 1974, p. 9.
  3. 3,0 et 3,1 Guillaume Sorel, Petit guide du Nord-Cotentin, I. Des origines au Moyen Âge, éd. Heimdal, 1975.

Liens externes

49°41′24.2″N 1°56′10.2″W49.690056, -1.936167