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Albert Fontaine

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Albert Fernand Bernardin Fontaine, né à Montebourg le 14 avril 1847 [1] et mort à Saint-Pierre-Église le 27 décembre 1898 [2], est un écrivain de la Manche.

« Eun vuus Cassin »

Né à Montebourg où son père est épicier et camarade d’enfance de Mgr Le Nordez, Albert Fontaine est élève au collège-lycée de Coutances. Il fait ses études de droit et participe à la campagne de 1870-1871 dans la Garde mobile, où il devient sous-lieutenant le 29 janvier 1871.

Il est successivement notaire à Pont-l’Abbé-Picauville de 1873 à 1882, juge de paix à Briouze (Orne) à partir du 12 mai 1883, puis à Saint-Pierre-Église pendant quelque huit ans jusqu’à son décès.

Il a collaboré au Bouais-Jan sur la fin de sa vie avec des textes en normand : Coume qui que no n’avait janmais le d’réni mot aveu Boûnot Heuteventn de Morsaleinnes (8 avril 1897), Les Joyeux propos de Bounot Heurtevent de Morsaleinnes (8 juillet 1897) et Boûnot en justice de paix (8 octobre 1897), le tout sous le pseudonyme d’ « Eun vuus Cassin ».

Notes et références

Source

René Gautier (dir.), Dictionnaire des personnages remarquables de la Manche, tome 4, ISBN 2914541562.

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